Ceci est le titre d'un article écrit par Zakri Blé Eddie dans Libre Afrique, très intéressant à propos du Burkina Faso, dont voici le début :
Ces dernières années, pour ce qui intéresse notre association, nous avons écrit au moins un post le 9/2/2017 et relevé un article dans la presse (faso.net du 7/2.2017), à propos de la polémique qui s'est installé autour du pagne du 8 mars.
Depuis deux ou trois ans, sans s'y être vivement invités les burkinabé jeunes et moins jeunes, hommes et femmes se sont appropriés le Koko Donda un pagne autrefois porté par les travailleurs et par les personnes de moindre ressource. Les couturiers les ont même fait paraître dans des défilés de mode.
Pour plus d'informations et voir du pagne Koko Donda cousu.
Il ressort de tout cela qu'en matière d'art, il faut laisser s'exprimer les artistes et ceux qui les reconnaissent.
Depuis la chute de Blaise Compaoré en
2014, une fièvre culturelle s’est emparée du Burkina
Faso. Partout, on ne parle que de la mode patriotique consistant à privilégier la nourriture,
les vêtements, la musique locale, et bien d’autres produits locaux.
Déclenché et appuyé par les nouvelles autorités, cet élan patriotique n’épargne aucune
sphère et aucun secteur.
Il irradie tout le pays si bien que le citoyen burkinabé qui
ne s’inscrit pas dans cette tendance est parfois vu d’un mauvais œil. Une situation
qui amène à s’interroger sur le bien-fondé de
ce phénomène.
Depuis deux ou trois ans, sans s'y être vivement invités les burkinabé jeunes et moins jeunes, hommes et femmes se sont appropriés le Koko Donda un pagne autrefois porté par les travailleurs et par les personnes de moindre ressource. Les couturiers les ont même fait paraître dans des défilés de mode.
Pour plus d'informations et voir du pagne Koko Donda cousu.
Il ressort de tout cela qu'en matière d'art, il faut laisser s'exprimer les artistes et ceux qui les reconnaissent.
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